Yvelines : quel est le niveau de vie de votre voisin de RER ?

Quel est le revenu médian autour des gares traversées par votre train ? Cette année, à l’occasion des chiffres 2014 de l’Insee quant au niveau de vie des ménages, Francetvinfo publie une carte interactive permettant de consulter le revenu médian pour le voisinage de chaque station de RER et de Transilien :

A Saint-Nom-la-Bretèche, le niveau de vie est trois fois supérieur à celui de La Courneuve. Comme chaque année, l’Insee publie son « Fichier localisé social et fiscal » (FiLoSoFi) qui mesure le niveau de vie médian des ménages dans chaque commune.

La dernière édition en date repose sur les données recensées en 2014. Pour mieux observer la répartition des différents niveaux de vie dans la région parisienne, nous avons reproduit le plan des lignes de RER et du Transilien et nous y nous avons distingué les quelque 500 gares en fonction des données de l’Insee.

 

Dans les Yvelines, le différentiel entre les communes possédant des gares est très important : il y a plus de 23 000 euros d’écart de revenu médian entre les stations aux passagers les plus aisés, celles du Vésinet et du Pecq (38 846 euros), et de la gare de Mantes-la-Jolie (15 487 euros) qui arrive en tête de celles dont les passagers sont les plus pauvres.

Au-dessus de 35 000 euros de revenu médian, l’on retrouve aussi Saint-Nom-la-Bretèche (38 881 euros), de Villennes-sur-Seine (38 565 euros), de Mareil-Marly (36 990 euros) de Petit-Jouy – Les loges (36 387 euros) et de Noisy-le-Roi (35 031 euros).

De l’autre côté du spectre, en-dessous de 20 000 euros de revenu médian, figurent aussi Les Mureaux (16 214 euros), Trappes (16 269 euros), La Verrière (16 799 euros), Chanteloup-les-Vignes (17 257 euros) et Limay (18 411 euros). La gare francilienne au niveau de vie le plus faible est Grigny, dans l’Essonne, avec 13 095 euros.

SOURCE : FRANCETVINFOCREDIT PHOTO : FRANCETVINFO

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